Au lieu d’envisager cette période naturelle de turbulence comme une « petite fin du monde », nous pouvons y trouver une occasion de croissance, une nouvelle proposition-invitation à vivre davantage en fonction de notre véritable identité, à nous libérer, si nécessaire, de certaines entraves personnelles, professionnelles, matérielles et affectives lourdes à supporter, et parfois même à tout recommencer.

Alors, nous décuplerons notre énergie et notre bien-être en plus de réduire le risque d’angoisses existentielles liées au vieillissement qui s’amorce.

Nous nous assurerons aussi de prendre les meilleures décisions possibles avant de nous lancer dans la seconde moitié de notre vie : l’autre cinquantaine.

Un bilan de vie s’impose.

Un livre à paraître en 2024

La retraite en vue ? L’objectif est alors de s’aménager une vie nourrissante, intéressante et épanouissante.

Pour y parvenir, il importe de maintenir l’équilibre entre nourrir notre corps et notre esprit (manger, dormir, s’oxygéner, apprendre, créer, rire, entretenir notre mémoire et notre intelligence…) et nourrir les autres (contribuer, aider, protéger, partager…).

Je vous propose quelques pistes de réflexion et des points de repère pour continuer à donner un sens à votre existence, à combler ces besoins qui ne meurent jamais, et à maintenir votre santé physique et cognitive au meilleur de leur forme.

Je mets surtout en lumière l’importance d’aimer la personne que nous devenons en vieillissant quoiqu’il arrive (c’est de l’autocompassion) et de résister à la fatalité ou à la comparaison avec les autres ou avec soi.